Alice marche à travers Berlin. Le corps penché en avant, elle cherche l'oubli parce qu'elle se dispute avec son amant. Au long de la Linienstrasse se déroule un long monologue ou plutôt un "flux de conscience", à mi-chemin entre poème et carnet de notes. Dans sa marche pleine de ténèbres et de vent, l’inquiétude, entre passé et présent, ne la quitte pas