Le matin du 11 novembre 1991, après avoir salué le monument aux morts, Moze – qui avait échappé au massacre des harkis en Algérie et s’était installé en France en 1967 avec sa famille – se suicide en se noyant dans l'étang communal.
Plus de dix ans après, sa fille tente de rendre compte de ce geste.
Moze nous parle du colonialisme et de ses excès, de tous les laissés-pour-compte de l’histoire et de l’impossibilité d’échapper à ses pères.