La fête à venir, c’est une ode à la liberté, celle qu’on obtient en prenant le risque du chemin de traverse, celle qu’on s’autorise en s’affranchissant des croyances et des habitudes. Chloé, Arès et Donovan ne vont pas marquer l’histoire, ne vont pas changer le monde, mais ils font le vœu de maitriser leurs destins, objectif ambitieux tant les obstacles sont nombreux. Il leur faut la vie et bien plus, il leur faut inventer des rivières et plonger dedans. Ils ne veulent plus être des valeurs marchandes, des variables d’ajustement, ils veulent commencer à imaginer un monde d’après. Ils veulent un prétexte à la fête, même si la fête est éphémère.